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Revue de Presse: Séisme en Asie : aide humanitaire
Posté le 29 décembre 2004 à 17:32:10 CET par Phil

Le Monde Le séisme de magnitude 9 survenu dimanche matin au large de l'île indonésienne de Sumatra et suivi de raz-de-marée dévastateurs sur les côtes de l'Asie du Sud et du Sud-Est, a fait au moins 76.901 morts, selon un nouveau bilan provisoire.

Séisme en Asie: près de 77.000 morts

(29 Décembre 2004 - 15h27)
Le séisme de magnitude 9 survenu dimanche matin au large de l'île indonésienne de Sumatra et suivi de raz-de-marée dévastateurs sur les côtes de l'Asie du Sud et du Sud-Est, a fait au moins 76.901 morts, selon un nouveau bilan provisoire.
Voici le bilan pays par pays:
- Indonésie: 45.268
- Sri Lanka: 22.493
- Inde: 6.974
- Thaïlande: 1.829
- Somalie: 100
- Birmanie: 90
- Maldives: 69
- Malaisie: 65
- Tanzanie: 10
- Bangladesh: 2
- Kenya: 1
AP

Séisme en Asie: le bilan pourrait dépasser 100 000 morts

GENÈVE - Le bilan du raz-de-marée en Asie pourrait dépasser les 100 000 morts, a affirmé le chef des opérations de la Fédération des Croix-Rouge, Peter Rees. Il a évalué à deux millions les rescapés de la catastrophe qu'il faut assister.
La Fédération internationale des sociétés de Croix-Rouge a révisé à nouveau son appel financier, en le portant à 67 millions de francs. Cette somme est nécessaire pour délivrer les premiers secours à deux millions de victimes dans dix pays. Elle ne comprend pas l'aide à la reconstruction.
«Le bilan s'alourdit encore toutes les heures. Je ne serais pas surpris s'il dépasse finalement les 100 000 morts», a déclaré Peter Rees. La majorité des victimes se trouvent au Sri Lanka, en Inde et en Indonésie. «Nous ne savons rien sur les nombreux villages de la côte de Sumatra», a affirmé le porte-parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) Florian Westphal. Cinq délégués supplémentaires du CICR sont en route pour renforcer les deux délégués déjà sur place. L'organisation a prévu d'assister 200 000 personnes dans la province indonésienne avec la Croix-Rouge indonésienne.
La Fédération a fait parvenir jusqu'ici au Sri Lanka des secours au cours de six vols spéciaux, avec des tentes, des médicaments, de la nourriture. Des médicaments pour 120 000 personnes sont parvenus à Colombo, la capitale du Sri Lanka.
Le responsable de la Fédération n'a pas minimisé les problèmes de coordination. «Il y aura certainement des problèmes, si chaque gouvernement agit de manière indépendante», a-t-il dit.
«Il ne faut pas envoyer de l'aide inutile et au mauvais endroit», a-t-il mis en garde. Mais il s'est déclaré convaincu que l'aide nécessaire arrivera aux victimes de la catastrophe.

Séisme en Asie: les risques d'épidémie

SINGAPOUR - Des millions de victimes du séisme en Asie risquent de contracter des maladies par manque d'eau potable. C'est ce qu'annonce l'UNICEF, alors que le bilan du drame dépasse les 69 000 morts. Au Sri Lanka, 3000 survivants ont par contre été retrouvés.

«Sans une opération immédiate et à grande échelle pour fournir de l'eau potable aux populations touchées par l'énorme raz-de-marée de dimanche, des millions de gens risquent fort de contracter des maladies véhiculées par l'eau», a indiqué l'UNICEF dans un communiqué..

«L'eau stagnante peut être tout aussi dangereuse que l'eau en mouvement», a affirmé la directrice du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), Carol Bellamy. «Il y a de l'eau partout, mais pas une seule goutte à boire», a-t-elle souligné. Mardi, le Dr David Nabarro, responsable de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les urgences, avait dit redouter que des épidémies consécutives aux raz-de-marée ne fassent encore plus de morts que les vagues géantes.

Ces déclaration interviennent alors que le bilan des tsunamis ne cesse de s'alourdir. On dénombrait plus de 69 000 victimes, dont 32 500 en Indonésie. Le Sri Lanka en déplore près de 22 000 et l'Inde 12 500. Il y en a plus de 1500 en Thaïlande. Parmi eux figurent au moins 178 étrangers, alors que plus de 2700 touristes ou ressortissants étrangers sont encore portés disparus. .
La Suisse a annoncé mardi que la mort de 9 touristes helvétiques était confirmée, mais qu'il risque bien d'y en avoir davantage. Petite lueur d'espoir au milieu du désastre, 3000 villageois srilankais qu'on croyait morts dans les tsunamis ont été retrouvés vivants par l'armée de l'air dans une région éloignée de l'est de l'île.

Séisme en Asie: l'aide peine à atteindre les secteurs isolés

BANGKOK (Reuters) - Les secours internationaux ont atteint mercredi certains villages dévastés par les raz-de-marée du week-end, entamant une véritable course contre la montre pour empêcher la propagation des épidémies, mais l'assistance fait encore défaut dans les zones les plus isolées.

La communauté internationale, qui monte l'une des opérations humanitaires les plus importantes de l'histoire en dépêchant une véritable armada par mer et par les airs vers les lieux du drame, semble toutefois débordée par l'ampleur de la catastrophe.

De nombreux villages côtiers transformés en véritables amas de décombres dégageant une odeur écoeurante de corps en putréfaction demeurent hors d'atteinte pour le matériel lourd nécessaire au déblayage et à l'éloignement des cadavres, source potentielle de maladies.

"Nous sommes particulièrement inquiets au sujet des gens habitant dans les zones côtières isolées, qui sont difficiles à atteindre parce que de nombreuses routes et de nombreux ponts ont été détruits", explique Jeff Dick, directeur du Programme alimentaire mondial de l'Onu au Sri Lanka.

"Les communications demeurent très problématiques, et de nombreux axes cruciaux au plan logistique, utilisés pour acheminer de la nourriture, sont toujours bloqués."

Parmi ces secteurs toujours isolés on compte l'est du Sri Lanka, les îles Andaman et Nicobar, en Inde, et la province d'Aceh dans le nord de l'Indonésie, située non loin de l'épicentre du séisme de 9,0 degrés qui a déclenché dimanche les vagues géantes.

"Il n'y a aucune nourriture ici ! Nous avons besoin de riz. Nous avons besoin d'essence, de médicaments. Je n'ai pas mangé depuis deux jours !", s'emporte Vaitai Usman, une habitante de Bandah Aceh, à l'arrivée de la première équipe de secours.

UN APPEL RECORD AUX DONATIONS

Alors que des rescapés, écrasés de douleur, enterraient leurs morts dans des fosses communes, des secouristes japonais, indiens, israéliens, russes, français, allemands et taiwanais s'efforçaient de remettre en état les systèmes d'alimentation en eau potable et les sanitaires.

Sur la côte Sud du Sri Lanka, pays le plus touché, avec un bilan de plus de 22.000 morts et plus de 1,5 million de sans-abri qui va vraisemblablement s'alourdir, des villages de pêcheurs dévastés attendent toujours l'aide gouvernementale.

"Il y a un manque effarant d'aide ici", déplore Chris Weeks, l'un des responsables du Private Disaster Ressource Network à Colombo. "Les gens se sont apparemment présentés en nombre, mais on manque de tentes, de couvertures et d'équipements médicaux."

La Banque mondiale estime qu'environ 800 km de voies ferrées, l'un des principaux moyens de transport au Sri Lanka, ont été détruits par les tsunamis. Le Pam a envoyé des vivres par camion à 12 districts du Sri Lanka et déployé des équipes d'urgence dans les zones les plus isolées où les moines bouddhistes ont entrepris de distribuer de la nourriture aux rescapés.

Les Nations unies ont fait savoir qu'elles s'apprêtaient à lancer ce qui pourrait être le plus grand appel aux donations de leur histoire, afin de donner des moyens suffisants à l'effort humanitaire qui s'est mis en place.

La Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) cherche à réunir plus de 50 millions de francs suisses (44 millions de dollars) après un premier appel à l'aide, dimanche, à hauteur de 7,5 millions de francs suisses (6,57 millions de dollars).

"C'est la catastrophe la plus importante que nous ayons vue depuis des décennies. Ce n'est encore que le sommet de l'iceberg", a déclaré le secrétaire général de la FICR, Markku Niskala. "Nous sommes confrontés à un défi immense du fait de l'étendue de la région touchée."

DES SECTEURS SONT TOUJOURS HORS D'ATTEINTE

Plus de 40.000 personnes sont logées temporairement dans 66 camps et abris de la Croix-Rouge au Sri Lanka. Des milliers d'autres Sri-Lankais essaient de trouver refuge dans des temples où ils prient pour que les vagues géantes ne frappent pas à nouveau.

Selon un haut responsable de l'Organisation mondiale de la santé, les maladies pourraient faire autant de morts que les tsunamis eux-mêmes.

Des équipes de la Croix-Rouge spécialisées dans le traitement de l'eau et les systèmes sanitaires sont arrivés au Sri Lanka et en Indonésie pour rétablir l'accès à l'eau potable et éviter la propagation de maladies telles que le paludisme.

La Croix-Rouge dit s'attendre à ce que les besoins identifiés soient revus à la hausse une fois qu'elle aura atteint les secteurs les plus isolés, notamment les îles Andaman et Nicobar, ainsi que la province indonésienne d'Aceh.

"Nous craignons que le nombre de morts, de sans-abri et de blessés augmente énormément en Indonésie quand des informations nous parviendront des régions isolées", a-t-elle fait savoir dans un communiqué.

Un chef de la police locale, S.B.Deol, a déclaré pour sa part: "La situation dans certaines des îles que nous avons réussi à contacter est très, très mauvaise." Il a précisé que dans ces territoires la population survit en se nourrissant de noix de coco. "Les noix de coco vont finir par s'épuiser. Nous devons apporter de toute urgence des vivres à ces gens."

A Khao Lak, dans le sud de la Thaïlande, des équipes de secouristes taiwanais et allemands collaborent avec des volontaires thaïlandais. Ils doivent sortir des centaines de cadavres des bâtiments un par un, manuellement, par crainte que les structures fragilisées ne s'effondrent.

"Je n'ai pas dormi depuis deux jours. C'est la pire catastrophe que j'ai vue depuis le début de ma carrière de médecin", a déclaré Somboon Sukhumkhampee à l'hôpital Takuata, proche de Khao Lak.

Aide humanitaire

Pour envoyer vos dons :

Croix-Rouge Française
Séisme en Asie
BP 100
75008 Paris

 
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