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Guadeloupe : condamnation de la répression Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
18-02-2009

Le collectif du 5 Février, le MIM dans un communiqué et l'ensemble des martiniquais ont condamné la répression de la grève en Guadeloupe perpétrée par les gendarmes mobiles et ont demandé leur retrait des Antilles.

Guadeloupe

Gran Parad Ti Kou Baton (Sonny Rupaire, 1973)

Le 16 février, des manifestants ont été molestés et arrêtés sur un barrage routier en Guadeloupe en grève depuis le 20 Janvier à l'appel du colletif LKP (Liyannaj Kont Pwofitasyon). Le LKP par la voix de son porte-parole Elie Domota, parlant de provocation, a appelé les Guadeloupéens "au calme et à la dignité", tout en continuant à suivre le mot d'ordre de grève du LKP et le maintien des piquets de grève. Les manifestants ont été libérés peu après leur interpellation. "On tiendra le temps qu'il faudra" a déclaré Max Céleste à la télévision.

Répression en Guadeloupe - Barrage
Barrage guadeloupéen au Gosier

Ces dernières nuits, des incendies nocturnes de barrages et de magasins en région pointoise se sont également produits et des saccages menés par des délinquants tentant de profiter de la situation sont aussi à déplorer à Baie-Mahault.

En Martinique, le collectif du 5 Février a fermement condamné cette répression, ainsi que le MIM, le PALIMA, le MODEMAS dans un communiqué. Ils ont également réclamé le départ des 12 escadrons spéciaux de gendarmerie mobile stationnés sur les deux îles, forces de l'ordre utilisées lors du démantèlement de barrages routiers en Guadeloupe et du maintien de l'ordre.

Forces de l'ordre
Hélicoptère Manblo

 

 
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